Deux femmes, deux combats pour une vie

The next dream is « The African dream »
(Thione Niang)
Collaboration entre deux femmes unies par l’envie de changer les choses. Aïta Magassa fondatrice de l’agence Nawali et Mariame Dembele présidente de L’ONG Donia vous présentent leur projet commun.

Nawali, bâtir une offre prônant la sécurité

Aïta Magassa. Gérante / fondatrice Nawali immobilier

Forte de ses 11 années d’expérience dans le secteur de l’immobilier Aïta Magassa s’est vue confier les postes de responsable de résidence et de gestionnaire locative. Lorsque l’on évoque le nom de la fondatrice de Nawali le terme « femme d’expérience » nous vient tout naturellement à l’esprit.

Les prémices d’une épopée

Aïta Magassa à comme de nombreux enfants d’expatriés eu un jour le souhait d’investir en Afrique. Sa volonté principale était de laisser un héritage à ses 4 garçons.

Il y a de cela 5 ans, cette mauritanienne d’origine s’est rendue au pays pour des vacances et pour l’achat d’un bien. D’agences en agences, d’échos des uns à l’avis des autres mêlés à la mauvaise expérience de son papa c’est bredouille que sa famille et elle rentrèrent en France.

« Achetez votre bien en Afrique en toute sécurité »
Dès son retour elle sentie très rapidement qu’il y avait une ambition à batir pour elle et ses proches : « acheter son terrain en Afrique en toute sécurité et sérénité « .

Face aux retours d’expériences ratées de son entourage en matière d’achat immobilier en Afrique elle prit la décision d’en faire son combat. Son agence Nawali vît le jour en janvier 2018 et se veut être la référence pour les investisseurs de la diaspora au Sénégal, au Mali, en Mauritanie et en Gambie.

Poursuivre son rêve au service des autres

Mariame Dembele présidente de l’ONG DONIA partenaire pour ce projet à toujours nourrit son rêve d’aider l’Afrique. Après avoir mené plusieurs actions au Mali avec l’ong, elle sentait qu’il fallait emmener Donia au Sénégal, un second appel du coeur.

La présidente de l’ONG DONIA avec les enfants de l’école Ahmadou Ly à Bamako

« Que tous les enfants d’Afrique étudient dans un cadre EXCEPTIONNEL »

Elle décida de laisser la vie la guider et découvrit le village de Salémata. Prise d’amour et d’amitié pour ses habitants, elle passait beaucoup de temps à côtoyer les enfants talibés. Que ce soit en suivant des cours dans l’actuelle daara ou en balades dans les montagnes avec les jeunes filles du village.

Avec les filles du village
Elle demanda au chef religieux comment aider les enfants, après qu’il ait consulté les autres personnalitées du village ils s’accordèrent tous qu’il devenait urgent de bâtir une structure pour que les enfants s’instruisent dans de bonnes conditions.

LE PROJET :

Construire la daara (Madrassa / école coranique) du village pour les talibés.

DONS

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Merci

LE VILLAGE

Le village de Salemata est situé à plus de 700 km de Dakar, on y accède en prenant le 7 places depuis Kédougou. Les enfants talibés viennent de plusieurs villes / villages de la région. Ils y séjournent afin d’y apprendre l’arabe, le Coran et les sciences de l’Islam avec un sërin daara (maître coranique).

L’ÉCOLE

L’actuelle daara a été fondée en 1962 par Thierno Alpha Oumar Sarr, le défunt père du grand imam du village. Elle se situe sur les terres de la famille de l’imam il n’y aura donc pas la necessité d’acheter le terrain.

Etat actuel de l’école coranique du village

L’ENSEIGNANT

Thierno Mahamadou Sellou, le Serïn daara (maître coranique) à étudié les sciences de l’islam en Guinée. Il est trentenaire, marié sans enfant pour le moment. Sa popularité est de plus en plus grandissante car depuis son arrivée au village les enfants ont progressés de façon exponnentielle.

Les talibés au village

ENSEIGNEMENTS

Dans la daara les enfants apprennent les sciences de l’Islam, la langue arabe. Ils étudient également le bon comportement, le sens des versets du Coran, l’amour de Dieu, du prophète (sws), des parents.

SANTÉ / HYGIÈNE

Les Ndeyou daara (marraines des talibés) représentées par Maty Sall la femme de l’imam ont la fonction de femmes protectrices . Elles s’occupent de laver les vêtements des talibés et de tout autre soin. Elles sont comme des secondes mamans pour les talibés qui sont totalement prit en charge.

NOURRITURE

L’imam Thierno Yacine dispose d’un grand champ familial, les garçons talibés y travaillent de temps en temps . Ils travaillent entre autre l’arachide pour en faire de la sauce pour certains repas.

Kinkelibat. Feuilles récoltées au village

CONSTRUCTEUR

Il s’agit d’une entreprise familiale choisie par l’imam du village. Nous leur faisons toute confiance quant à ce choix.

CONTACT
+ 33 1 76 54 76 92 / +33 7 82 98 59 94
contact@nawali-group.com / association.donia@gmail.com

https://www.nawali-group.com/en/presentation/ www.associationdonia.com

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